mercredi 24 février 2021

Le documentaire "Be Natural" de Pamela B Green, porte les gimmicks de son époque. Sensationnalisme, montage sur-cutés, silences impossibles.effets spéciaux hasardeux qui tombent à plat, la musique contribue à la dimension tape à l’œil du documentaire.Au contraire, les images des films d’Alice Guy se font trop rares, trop segmentées. Le documentaire porte finalement plus sur la documentaliste que sur Alice Guy.

 Le documentaire "Be Natural" de Pamela B Green, porte les gimmicks de son époque. Sensationnalisme, montage sur-cutés, silences impossibles. On a parfois l’impression que cette enquête policière manque de chair.

Dans sa quête, la documentariste Pamela B. Green, cumule les sources. Images d’archive, photographies, entretiens et quelques effets spéciaux parfois hasardeux. Si le montage initial est plaisant parce qu’il détourne l’esthétique de l’époque avec les moyens technologiques d’aujourd’hui, il arrive que l’effet tombe à plat. La faute à quelques transitions dignes des plus belles présentations Prezi. La musique contribue à la dimension tape à l’œil du documentaire.




Au contraire, les images des films d’Alice Guy se font trop rares, trop segmentées. Le documentaire porte finalement plus sur la documentaliste que sur Alice Guy.
 Un parti-pris qui ne peut s’entendre qu’en complémentarité avec une approche plus biographique et artistique que le film ne développe que trop peu.

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