jeudi 26 mai 2016
Aprés la fifille à Mèlies, la grande grande fifille d'Alice Guy raconte The "Untold story of Alice Guy Blache" en Skypscope et son monophonique
vendredi 6 mai 2016
"L'Utilité du rayon X" Une brève comédie sexy Réal. Alice Guy Blache
(France/1898/Teinté/ muet/53'') Gaumont
A l'octroi, une dame se présente : son embonpoint paraît suspect. Les douaniers la soumettent aux rayons X...Une brève comédie sexy, typique des possibilités offertes par la naissance du cinématographe.
En 1895, G.C. Röntgen découvre des rayons mystérieux capables de traverser le corps humain. N'en connaissant pas la nature, il les nomme rayons X.
(France/1898/Teinté/ muet/53'') Gaumont
A l'octroi, une dame se présente : son embonpoint paraît suspect. Les douaniers la soumettent aux rayons X...Une brève comédie sexy, typique des possibilités offertes par la naissance du cinématographe.
En 1895, G.C. Röntgen découvre des rayons mystérieux capables de traverser le corps humain. N'en connaissant pas la nature, il les nomme rayons X.
jeudi 5 mai 2016
Alice pose pour Frédéric Dillaye " helped her refine the tricks"..
Alice pose pour Frédéric Dillaye " helped her refine the
tricks".....Frédéric Dillaye, a écrit de nombreux livres sur la
photographie et fut mon professeur bénévole, surtout lorsque je
commençai mes films. Sa vie familiale fut bouleversée par le terrible
incendie du Bazar de la Charité. La famille Dillaye ce jour-là, arriva
un peu en retard pour prendre le train qui devait l’amener au Bazar de
la Charité ou elle tenait un stand. Le chef de gare qui la connaissait,
courut avec elle afin de lui ouvrir un
wagon et l’aider à y monter. Frédéric Dillaye était dans le bureau de
Gaumont, nous causions paisiblement, lorsqu’un employé arriva très ému
et très pâle, prévenir Gaumont du sinistre provoqué par le cinéma.
Dillaye entendit en partie cette conversation. Lui Gaumont et moi-même,
nous prîmes une voiture et nous précipitâmes à l’endroit du terrible
incendie. Des gens affolés couraient de tous côtés. Enfin les pompiers
arrivèrent à vaincre les flammes et Dillaye se trouva par hasard en face
d’une de ses filles qui, affolée venait de sortir. Elle lui raconta
qu’elle tenait sa mère par la main au moment ou elle réussissait à
échapper. Un remous l’en avait séparée et elle se demandait ce qu’était
devenue sa mère. Inutile de dire par quelles affres nous passâmes,
jusqu’au moment ou, trés tard dans la nuit, on fut admis à essayer de
reconnaître ce qui restait des victimes. Je ne fus pas autoriséé à
accompagner Gaumont et Dallaye, je n’en aurais, du reste, pas eu le
courage. C’est après de longues recherches et grâce à des boucles
d’oreilles qu’il connaissait que Frédéric Dillaye reconnut le corps de
sa femme. Dix-sept personnes de cette famille qui n’avait jamais connu
de vrais chagrins, périrent dans cette terrible catastrophe. Egalement,
un an plus tard, la fille aînée de Dillaye qui avait été séparée de sa
mère, mourait d’une sorte de consomption. Dillaye mit fort longtemps à
se remettre à ses occupations (Autobiographie Alice Guy)
Alice Guy pose pour Frédéric Dillaye " helped her refine the tricks"..
Alice Guy pose pour Frédéric Dillaye " helped her refine the tricks"..
Alice pose pour Frédéric Dillaye " helped her refine the tricks".. |